LAURENT METTRAUX

 

Route Principale 160, CH-1791 Courtaman (Suisse)

Tél. + fax : (+41) 26/684.18.65, E-mail : laurent.mettraux(at)bluewin.ch

 

 

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CHOIX D’EXTRAITS DE JOURNAUX

 

 

« On touche avec lui une nouvelle génération de musiciens lassés des recherches formelles, qui reviennent à l’expression de leur personnalité au mépris des avant-gardes, et qui recourent à la tonalité lorsqu’ils en ont envie. » (Jean-Jacques Roth, Le Nouveau Quotidien, 3.3.1993)

 

 

« Ce qui frappe l’auditeur dans l’œuvre de Laurent Mettraux, c’est le sens de la construction, à la fois architecturée et implacable. […] Dans leur grande majorité, les instrumentistes se disent très sensibles à sa musique ». (Antoine Pecqueur, Revue Musicale de Suisse Romande, septembre 2007)

 

 

 « La musique hautement et subtilement lyrique du Deuxième trio (1996) de Laurent Mettraux ! Une musique vraiment rare, narrative au plus haut degré, qui trace un chemin de poésie fort en passions et illuminations […] un langage saisissant. » (Bernard Sansonnens,  La  Liberté, 21.2.2000)

 

 

« Le public a découvert avec étonnement le très beau Concerto pour 15 cordes solistes de Laurent Mettraux. […] Cette composition est à la fois très moderne et très classique, parfaitement harmonieuse. » (Vincent Pellegrini, Le Nouvelliste, 14.7.1994)

 

 

« C’est une musique aux ambiances fortes, faite d’aspects dramatiques et d’aspects méditatifs. Il y a quelque chose d’authentiquement et de profondément romantique dans cette 1ère symphonie. Il n’y a rien d’artificiel dans l’écriture de Laurent Mettraux. » (Emmanuel Siffert, La Liberté, 16.10.1999)

 

 

« D’une harmonie profonde surgissent des forces qui vont tendre la phrase jusqu’à son sommet. […] Il y a un vrai talent dans ce langage, qui touche par la force de sa conviction. » (Patrice Borcard, La Gruyère, 18.7.2000)

 

 

« La création de l’œuvre „Gethsemané“ du très talentueux compositeur fribourgeois de 24 ans Laurent Mettraux, a constitué un point culminant [du concert]. La pièce décrit avec beaucoup d’habileté dramatique l’arrestation de Jésus au jardin de Gethsemané. » (pof, Der Bund, 29.3.1994)

 

 

« La Symphonie pour orchestre de chambre est une pièce qui parle au cœur autant qu’à l’esprit. Un lyrisme chaleureux imprègne cette partition enrichie de solos instrumentaux d’une séduction indiscutable. La révélation d’un réel talent. » (Yves Allaz, Journal de Genève, 3.3.1993)

 

 

« Laurent Mettraux fait partie des jeunes compositeurs suisses les plus prometteurs. Il est déjà l’auteur d’une œuvre d’envergure, diversifiée, qui est interprétée dans le monde entier par des ensembles renommés. Le Concerto pour orgue, créé en décembre 2003 pour l’inauguration des nouvelles orgues de la Cathédrale de Lausanne, impressionne par son expressivité et sa profondeur méditative.  Il évoque de nombreuses associations d’idées : on croit percevoir un « grondement du ciel » dans les puissants tremolos de l’orgue et de l’orchestre, les trombones du Jugement Dernier résonnent dramatiquement et le ciel semble s’ouvrir dans les sonorités éthérées du registre de voix céleste. » (Renate Herklotz, Livret-programme de la 229ème saison du Gewandhaus, 2009/10)

 

 

« Disons d'emblée que cette œuvre [Suite pour trois flûtes traversières] est l'une des plus impressionnantes créations suisses que nous ayons entendues depuis longtemps: riche, surprenante, d'une émotion accessible à tous et atteignant à une profondeur et une sincérité de tous les instants. » (Alexandre Traube, l’Express, 26.4.2007)

 

 

« Un compositeur de la nouvelle génération attire l’attention : Laurent Mettraux de Fribourg. Son oeuvre « Ombre », qui ne se laisse aucunement rattacher à l’avant-garde, laisse appréhender un talent fort, plutôt instinctif. » (Simone Mahrenholz, Die Welt, 20.10.1999)

 

 

« Parmi les compositeurs de la jeune génération, le Fribourgeois Laurent Mettraux adopte une position esthétique extrême avec « Traces gravées dans le Sable ». Mettraux a conçu les six miniatures [qui composent ce cycle] comme des méditations sur des textes de la tradition bouddhiste Chan. Son œuvre s’écoule lentement et doucement, dans une légère tension expressive, en passant par de magnifiques sonorités. Il s’agit vraiment d’une musique à l’écoute de laquelle il faut fermer les yeux. » (Thomas Schacher, Neue Zürcher Zeitung, 11.09.2009)

 

 

« La Symphonie pour orchestre de chambre de Mettraux est un puissant épisode tragique de 18 minutes, développé magistralement, et il y a de bonnes raisons pour lesquelles cette œuvre a gagné des prix. » (Robert Benson, classicalcdreview.com, janvier 2010)

 

 

«  Quelle admirable floraison d’expressions sensibles, émouvantes, nourrie de poésie émane des Paremboles de Laurent Mettraux ! […] Plages de rêve, de douceur, dans une parfaite cohésion musicale, doublée d’une rare beauté des timbres. » (Bernard Sansonnens, La Liberté, 26.10.1998)

 

 

« Aujourd’hui, sa musique correspond aux attentes des interprètes et des institutions. Elle puise aux traditions tout en reflétant le caractère de son concepteur qui revendique le droit de s’y mouvoir avec liberté. » (Dominique Rosset, L’Hebdo, 3.8.2000)

 

 

« Dans Stèles, cinq courtes pièces pour piano d’après des poèmes de Victor Segalen, Laurent Mettraux cultive une connaissance souveraine des formes historiquement éprouvées. » (Tobias Rothfahl, dissonance, mars 2011)